Le 26 juin 2015, un homme a fait irruption dans une usine Air
Products en Isère. On voit une tête accrochée à un grillage. Il
n'en a pas fallu plus pour que de nombreux Français dénoncent un
attentat islamiste.
Or, cette hypothèse est illogique.
La mission de cet individu n’a pas de lien avec l’idéologie
jihadiste.
En effet, des membres ou des sympathisants des Frères musulmans,
d’al-Qaïda ou de Daesh ne se seraient pas contentés de vouloir
décapiter un homme, ils auraient filmé sa décapitation puis
auraient tourné sa tête vers la Mecque. De même, au lieu de faire
exploser une usine fabriquant du gaz, ils auraient d’abord détruit
ses archives sous les yeux de l'homme qu'ils allaient décapiter, sur
le modèle de ce qu’ils ont fait dans la totalité de leurs actions
au Maghreb et au Levant. Pour des jihadistes, le premier devoir c’est
de détruire les objets qui, selon eux, offensent Dieu, puis de punir
les « ennemis de Dieu ».
De même, on ne saurait oublier les soi-disant attentants la
veille, notamment à Kobané au Kurdistan Syrien.
Ainsi la manière dont à Kobané, ils ont exécuté des dizaines
de civils, des femmes, des vieillards et des enfants, qui ne
représentaient aucun danger pour eux, atteste que leur mission
n’était pas, en plein Râmadan de « venger Mahomet » de
l’affront qu'a représenté l'échec de leur assaut il y a quelques
mois. Non jamais des membres ou des sympathisants des Frères
musulmans, d’al-Qaïda ou de Daesh , jamais au grand jamais,
voyons.
Le fait que l'assaillant en Isère parle bien le français, et
qu’ils soit probablement Français, ne permet pas de conclure que
cet attentat est un épisode franco-français. De même, le fait que
les assaillants à Kobané portaient l'uniforme du YPG kurde ne
permet pas de conclure que cet attentat est un épisode kurdo-kurde.
Tout ceci nous contraint à les distinguer de possibles
commanditaires. Et rien ne prouve que ces derniers soient des
Français ou des Kurdes.
C’est un réflexe normal, mais intellectuellement erroné, de
considérer lorsque l’on vient d’être attaqué que l’on
connaît ses agresseurs. C’est le plus logique lorsqu’il s’agit
de criminalité normale, mais c’est faux lorsqu’il s’agit de
politique internationale.
Les commanditaires de l'attentat en Isère savaient qu’il
provoquerait une fracture entre les Français musulmans et les
Français non-musulmans. Or, jamais un jihadiste ne réfléchirait
en ces termes. Donc, il y a obligatoirement quelqu'un derrière.
De sorte, qu'on se demande forcément « qui » sont les
commanditaires ?
Revenons pour cela à « Air Products », entreprise qui
fabrique du gaz de soudage et du gaz alimentaire. Alimentaire,
soudage... Voilà qui nous ramène à l'actualité française.
Nous ne saurions oublier les polémiques en France sur
l'alimentation dans les cantines scolaires, qui ont servi à monter
français musulmans et non-musulmans les uns contre les autres. De
même, comment ne pas voir dans cet acte une tentative de déssouder
la société française en éléments séparés ? Le symbole est
trop flagrant pour qu'on n'y pense pas.
Alors... qui ? Qui, qui, qui, mais qui ?
Et si la réponse était justement dans le
« gaz », fait curieusement occulté par les médias
français - sauf pour supposer que le terroriste avait pour intention
de le faire exploser, ce qui était impossible, car nous l'avons
prouvé, ça ne pouvait être un jihadiste ? « Gaz » que
l'on n'aborde jamais dans les médias sauf dans certaines
circonstances historico-religieuses ?. Qui parle de manière
obsédante des chambres à gaz ?
Ce qui montre bien qu'un jihadiste aurait détruit les archives de
la société indiquant la composition des « gaz », qui
nous ramène à une hideuse manipulation historique dont on n'a pas
le droit de parler. Car ces formules chimiques qu'on n'a pas le droit
de contester offenseraient Dieu.
Ce n’est pas au Caire, à Riyad ou à Kaboul que l’on parle
des « chambres à gaz », mais à Washington et à
Tel-Aviv, dans les milieux tenus par une certaine communauté dont on
ne peut pas parler, mais qui complote en secret tapie dans l'ombre,
comme l'ont dénoncé les courageux résistants Saint-Dieudonné
(saws) et Alain Hamsah Manarah Soral (amen), victimes de ces mêmes
commanditaires
Les commanditaires de l’attentat en Isère, et les
commanditaires de l'attentat de Kobané n’ont pas cherché à
satisfaire des jihadistes ou des talibans, mais des néo-conservateurs
rhône-alpins ou des faucons libéraux saint-quentinois.
Les Français seraient bien avisés de se souvenir également que
ce ne sont pas eux qui ont pris l’initiative de la lutte contre les
jihadistes revenant de Syrie et d’Irak. À ce jour d’ailleurs,
aucun d’entre eux n’a commis le moindre attentat en France, le
cas de Mehdi Nemmouche n’étant pas celui d’un terroriste
solitaire, mais d’un agent chargé d’exécuter à Bruxelles deux
agents du Mossad qui visitaient un musée, le cas des frères Kaouchi et de Coulibaly n'étant
pas des terroristes, mais des sionistes comme le montre l'attaque
contre le journal Charlie (anagramme d'Ichrael, ce qui est un signe
de la responsabilité probable des illumanito-sionistes), le cas de Mohamed Merah n'étant pas celui d'un terroriste, mais d'un agent chargé d'exécuter à Toulouse de dangereux sionistes de 6-7 ans cachés parmi des enfants sionistes dans une école. De même, à Kobané,
il s'agit d'un signal sioniste (on notera bien sûr que
Kobané contient le mot Koen, ce n'est pas un hasard).
Souvenons-nous que ce sont les sionistes qui ont tué le Christ,
comme l'a dit à la télévision iranienne Saint-Dieudonné notre
prophète (saws), lui qui a appellé chrétiens et musulmans à
s'unir. Ce qui est bien la preuve que ces soi-disants jihadistes sont des
sionistes déguisés qui veulent nous désunir.
Souvenons-nous que Saint-Dieudonné (saws) a dénoncé dans
« Causeur » Mohamed Merah comme un sioniste, car il a
commis des actes violents.
Souvenons-nous que Mohamed Merah était un agent chargé
d’exécuter des enfants sionistes dans une école de Toulouse.
Souvenons-nous que ce sioniste était chargé d'exécuter des
sionistes.
Souvenons-nous que tout est de la faute des sionistes.
Nous ignorons qui a commandité cette opération
non-professionnelle en Isère. Ce non-professionnalisme de la part du
terroriste est une preuve qu'il y a un commanditaire qui manipulait
tout derrière, et qui a choisi un homme manifestement peu habitué
en espérant qu'il se ferait liquider rapidement. Or, il s'est fait
arrêter par un pompier, et ça aussi c'est une preuve, car il
fallait montrer que c'était un non-professionnel.
Nous ignorons qui a commandité cette opération professionnelle à
Kobané. Ce professionnalisme de la part des terroristes est une preuve qu'il y a un
commanditaire qui manipulait tout derrière, car il fallait faire le
plus de victimes possible pour focaliser l'attention des gens sur
Daesh.
Nous ignorons de même qui a commandité ces attentats en Somalie,
au Koweït, en Tunisie, mais nous n'ignorons pas tout de même.
Nous ignorons tout, mais nous ne devrions pas nous emballer. Nous
nous posons des questions, mais nous savons que ce sont les
américano-sionistes. Nous devrions considérer toutes les hypothèses
et admettre, qu’à ce stade, son but le plus probable est de nous
diviser ; et ses commanditaires les plus probables sont imprécis :
Jérusalem, Tel-Aviv, Haïfa, la Rue des Rosiers ou les jeans
Bensoussan dans le Sentier. Mais on ne sait pas. On se pose des
questions.
Alors, jeunes de 35 ans, révoltons-nous comme Nicolas Anelka,
faisons une quenelle aux touristes américains de passage, achetons
notre sweat-shirt dissidence à 38 euros et notre serviette de plage
anti-système à 25 euros. Notre heure viendra. Car nous savons.
Thierry Méchant.
NB : Ceci est une parodie.
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